Le meilleur des jeux de bowling avec des noms autres que ceux du Nouvel An
Se moquer des jeux de bol inférieur est facile et amusant. Avons-nous vraiment besoin d'un Boca Raton Bowl ? Ou un bol LendingTree ? Ou un Bol Gasparilla ? Ou un Bol Cameilla ? Ou un bol Hertz ? Ou un bol à tarif garanti ? (Un seul d'entre eux est faux.) Non, probablement pas. La réponse à "Qui est le meilleur : Eastern Michigan ou Liberty ?" ne m'a jamais empêché de dormir la nuit, et le résultat de Tulsa-Old Dominion ne devrait pas non plus vous empêcher de dormir.
C'est pourquoi mon approche n'est pas pourquoi avoir autant de jeux de boules mais plutôt pourquoi pas ? Si votre réponse est "Pour éviter les blessures à la tête", merci de votre inquiétude, mais ils se sont inscrits pour cela, alors passons à autre chose. Le football est dans la même catégorie que la boxe et le MMA à ce stade ; les avertissements sont sur l'étiquette.
Cela dit et les yeux fermés, plus de football bat toujours moins de football, et avouons-le : c'est la dernière occasion de subir un traumatisme cérébral pour beaucoup de ces joueurs. Ce serait génial de couronner une carrière de joueur avec n'importe quel match de bowling télévisé à l'échelle nationale. (Vous entendez ça, Scott Frost ? N'importe quel jeu de bowling serait génial.)
En plus de donner aux jeunes hommes une plus grande scène pour faire quelque chose qu'ils aiment une dernière fois, c'est aussi l'occasion de voir des matchs non conventionnels, la brillance individuelle de futurs pros ou de grands universitaires, des matchs de tous les temps, des finitions sauvages et des moments mémorables. Si cela ressemble à des titres de diapositives pour un compte à rebours des moments de bol non chapiteau du football universitaire, vous vous trompez.
Je ne compte rien. Tu es un putain d'adulte. Vous ne « lisez » pas les diaporamas, vous vous abonnez au New Yorker et à The Atlantic. Gardez votre dignité intacte. C'est une ode à l'inoubliable qui vient de l'inconséquent qui arrive à avoir des slides.
De toute évidence, les grands jeux de bols vont présenter les affrontements dont vous vous souvenez le plus – Vince Young et Texas contre Matt Leinart, Reggie Bush et USC – mais qu'en est-il du Sun Bowl de 1998 entre USC et TCU ? Le porteur de ballon de deuxième année LaDainian Tomlinson et le véritable étudiant de première année Carson Palmer ont partagé un terrain ce jour-là. Cela aurait été plus cool si LT avait joué plus, mais ce n'est pas le problème, le problème est qu'un Palmer au visage de bébé et un Tomlinson au visage de bébé se sont partagé le terrain.
D'accord, pas impressionné ? Voici quelques anecdotes récentes : quelle est la seule équipe du Big 12 à avoir battu Dabo Swinney ? Ce n'est pas l'Oklahoma, le Texas ou l'État de l'Oklahoma. C'est le Nebraska.
Vérifiez la bande. Bo Pelini et les Cornhuskers se sont ralliés pour battre Clemson lors du Gator Bowl 2009 , 26-21, et les deux universités se sont dirigées dans des directions opposées depuis. Swinney était techniquement l'entraîneur-chef par intérim cette année-là parce que Tommy Bowden a démissionné. Le battant Clemson a remporté l'Orange Bowl 2012 contre Geno Smith et la Virginie-Occidentale est venu alors que WVU était encore dans le Grand Est.
Si ce n'est pas assez bizarre, saviez-vous que lorsque l'entraîneur de l'État de l'Ohio, Woody Hayes, a tristement frappé un joueur de Clemson lors d'un match, c'était lors du Gator Bowl de 1978 ? Je suis sûr que vous saviez qu'il avait frappé un joueur à la gorge et qu'il s'était fait virer, mais je parie que vous ne saviez pas que c'était dans un match de six bols autre que le Nouvel An. Si nous n'avions pas ces jeux de bol triviaux, nous n'aurions jamais des moments bizarres ou fous comme ceux-ci ou des performances comme celles-ci…
Oui, je sais que le fait d'inclure Barry Sanders ou Randy Moss dans tout ce qui apparaît comme une excuse pour montrer les faits saillants de Barry Sanders et Randy Moss, et c'est exactement cela. Sanders a égalé un record de match de bowling avec cinq touchés au sol et 222 verges au sol, dont une rafale de 68 verges qui comportait un mouvement classique de Barry (4:05), lors du Holiday Bowl de 1988.
Moss a été finaliste de Heisman lors de sa dernière saison de bal universitaire à Marshall, qui s'est terminée contre Ole Miss lors du premier Motor City Bowl en 1997. The Thundering Herd, quart-arrière de Chad Pennington, n'a pas pu éliminer Deuce McAllister et Ole Miss. , perdant 34-31, mais Moss a capté six passes pour 173 verges et un touché.
Il y a beaucoup d'autres All-Pros qui ont illuminé un Hawaii Bowl ou un Las Vegas Bowl ici et là, mais toutes les stars du football universitaire n'ont pas un match qui se traduit par la NFL ou le dernier de la ligue en raison d'une blessure ou autre, donc c'est agréable d'avoir une cerise sur leur carrière universitaire…
Il est facile de se souvenir de ce que Tim Tebow, Tommie Frazier ou Young ont fait dans leur carrière universitaire car ils ont joué dans les plus grands matchs et remporté un ou plusieurs titres. Mais qu'en est-il de ces joueurs qui ont plus ou moins culminé à l'université et qui n'ont pas remporté de titres mais que nous aimions quand même ?
Je suis sûr que les fans de Michigan State se souviennent de l'effort de 10 prises, 270 verges et deux touchés de Charles Rogers (RIP) lors de la Silicon Valley Classic 2001 contre Fresno State, même si le fan des Lions de Detroit en eux veut l'oublier. Ce match a peut-être été maudit, cependant, car en face de Rodgers se trouvait le futur choix n ° 1 David Carr, qui a lancé pour 531 verges et quatre touchés, et n'a également jamais échoué dans la NFL. La cible Bulldog préférée de Carr, Rodney Wright, a en fait dominé Rogers, ce qui semble impossible tant que vous ne voyez pas sa ligne de statistiques : 299 verges, 13 attrapés et deux touchés.
Les chiffres offensifs de ce match étaient fous – 11 touchés, plus de 1 100 verges d'attaque combinées et deux receveurs combinés pour 569 d'entre eux. Les 299 verges de Wright et les 270 verges de Rogers se situent aux points deux et trois sur la liste des verges les plus réceptrices dans un match de bol. (Le maximum est de 308 par le receveur hawaïen Jason Rivers lors du Hawaii Bowl 2006.) Des performances comme celles-ci expliquent pourquoi les jeux de bol arbitraires peuvent être si amusants.
Bien que nous sachions que Robert Griffin III a définitivement eu un moment dans la NFL, son dernier match pour Baylor, l' Alamo Bowl 2011 contre Washington, fait ressembler la Silicon Valley Classic 2001 à un mauvais match du Big 10. Les deux équipes se sont combinées pour 1 397 verges (un record de jeu de bol), 123 points (un record de jeu de bol dans le règlement) et 17 touchés (un record de jeu de bol).
Baylor a perdu 42-24 au début du troisième quart et a fini par gagner 67-56. RG3 ne représentait que 340 des 777 verges au total des Bears (un record de jeu de bol), alors peut-être que ce n'était pas la vitrine pour lui dont je me souviens, mais je n'oublierai jamais cette rencontre sur piste ou combien de joie RG3 et cette équipe Baylor laissés dans leur sillage de chiffres révolutionnaires sur Internet. C'est dommage que les blessures aient fait dérailler sa carrière professionnelle car il était une version plus précise (et plus sujette aux blessures) de Lamar Jackson.
Cela dit, c'était toujours un jeu record, quelque chose de plus courant dans les jeux de bol inférieurs. En parlant de quoi…
Qu'il s'agisse de points marqués, du plus grand retour ou de ne pas savoir qui était Bailey Zappe de l'ouest du Kentucky / qu'il poursuivait plusieurs marques de passage, le piquant dans votre jeu de choix de bol et regardant avec un sentiment de "Bien sûr, je suis allé contre le gars qui lance vite s'incline sur le premier et le but de celui-ci parce qu'il essaie de surpasser Joe Burrow », les scénarios et les jeux complètement fous qui se manifestent en opposant des équipes d'étudiants au hasard sont fantastiques.
L'une des lignes de statistiques les plus divertissantes était votre garçon Mike Kafka de Northwestern, complétant 47 passes (record de bol) sur 78 tentatives (record de bol) pour 532 verges (le huitième plus est le jeu de bol), quatre touchés et cinq interceptions (deuxième plus dans un bol match) dans une défaite en prolongation contre Auburn lors de l' Outback Bowl 2010 .
Ensuite, il y a le GMAC Bowl 2001, qui est le match de bowl le plus marqué de tous les temps avec 125 points, qui a vu Byron Leftwich égaler le record du match de bowl pour les verges par la passe (576) et mener Marshall au deuxième plus grand retour (30) de l'histoire du bowl, un 64-61 thriller en prolongation contre la Caroline de l'Est. Le plus grand retour (31 points) a été fait deux fois. Cependant, ce qui aurait été le retour le plus fou et le plus fou a échoué de justesse lors du Bahamas Bowl 2014…
Lors du tout premier Bahamas Bowl en 2014, Central Michigan et le quart-arrière Cooper Rush ont suivi l'ouest du Kentucky 49-14 avec 8:55 à faire au troisième quart, mais techniquement, leur rallye n'a commencé qu'au quatrième, lorsque le QB a lancé cinq touchés. passes, y compris ce touché latéral de type «Le groupe est sur le terrain» à la fin du temps imparti.
Ce lancer transformé en jeu de patate chaude était sa septième passe TD du match, ce qui était – dites-le avec moi ici – un record de jeu de bol. Cependant, au lieu de marquer le point supplémentaire et d'aller en prolongation, Central Michigan a tiré un Tom Osborne, est allé pour deux et la victoire mais ne l'a pas obtenu, mettant fin à leur offre pour ce qui aurait été un retour record de 35 points.
Le Michigan a raté 15 mètres d'un latéral similaire contre le Nebraska lors de l'Alamo Bowl 2005 qui s'est accompagné de la folie des gens sur le terrain qui n'étaient pas censés être là.
Les fans de Wolverine diront toujours qu'un drapeau aurait dû être lancé pour les joueurs de Husker venant sur le terrain à mi-parcours, mais cela n'a pas été appelé, alors calmez-vous. Je me souviens d'avoir regardé ce match pendant les vacances de Noël, puis de m'être endormi à la deuxième émission sur le sol de l'appartement de ma sœur après avoir célébré le W avec ma famille et mes amis toute la nuit.
Mis à part un match de six bols du Nouvel An ou les séries éliminatoires, il n'y a pas de meilleure façon de terminer une saison - ou de célébrer les fêtes de fin d'année - qu'avec une victoire folle sur une bonne équipe dans un match de bol…
Plus de taquineries en fin de partie. Voici quelques Ave Maria très mémorables auxquelles on a répondu dans des jeux de bol sans signification. Nous commencerons d'abord avec le Capital One Bowl 2005 lorsque Drew Tate, confus de l'Iowa, a battu une défense LSU encore plus confuse lors de la dernière passe du match.
Et maintenant, terminons avec le 1980 Holiday Bowl. Jim McMahon et BYU ont suivi le Pony Express alias Eric Dickerson et Craig James de SMU, 45-25, avant de se rallier à moins de 6 à 45-39. Les Cougars ont bloqué un botté de dégagement, puis ont obtenu un tir de la ligne des 41 verges avec 3 secondes à jouer.
Il y a tellement de moments que j'ai définitivement oubliés, c'est pourquoi ce n'est pas un top 10, alors ne me tuez pas pour ça. Lorsque vous vous asseyez au football en milieu de semaine (ce n'est pas un match de la NFL reporté en raison de COVID) cette saison des fêtes, essayez de profiter de l'apparat et évitez le cynisme des gens qui vous disent leurs résolutions du Nouvel An.
Et si vous voulez une liste complète des records de parties de bowling, c'est par ici . Bonne saison des bols !
