Qu'est-ce qui fait le plus peur, l'imagination ou la réalité ?
Réponses
Aucun d’entre eux n’est effrayant en soi. Les deux sont une éruption et un héritage de l’esprit humain. L'imagination, la créativité et la réalité en tant que création de soi font partie de la vie. Si nous remplaçons nos pensées et croyances négatives limitantes et autodestructrices par des pensées positives et productives, nous pouvons modifier et transformer l’atmosphère et le paysage de notre vie en une matérialisation acceptable et favorable au lieu d’une atmosphère mystérieuse et inhabituelle. L'imagination et la réalité physique sont corrélées pour créer du bonheur et du succès dans la vie si l'imagination, la visualisation et les pensées restent positives et traitées avec soin sous le contrôle de la sagesse créatrice et des pensées productives.
Certainement la réalité.
Même si certaines choses effrayantes dans notre imagination peuvent sembler menaçantes, elles sont pour la plupart inoffensives. Habituellement, aucun mal physique ne vous sera causé à cause de votre imagination, et lorsque cela se produit, c'est l'exception plutôt que la règle.
Mais en réalité, d’innombrables choses peuvent nuire à votre bien-être. Beaucoup d’entre eux avec lesquels vous interagissez au quotidien. La personne moyenne est exposée à toutes sortes de machines dangereuses, de toxines, de personnes potentiellement dangereuses, etc. Et ce ne sont que des choses ordinaires. Considérez la nature sauvage et tous les dangers associés à la vie dite « non civilisée » : il y a tellement de conneries effrayantes dans le monde que je préfère imaginer la chose la plus effrayante imaginable plutôt que de faire face aux réalités de la vie.
Ai-je mentionné toute la folie qui existe dans l’espace ? Les choses sont réelles, mais nous ne pouvons qu'imaginer à quel point elles sont réelles ? Oh, je ne l'avais pas fait ? Ouais, des trous noirs, de la matière noire, des planètes avec des tempêtes d'éclats de verre, ou entièrement constituées de gaz toxiques, des étoiles… oserais-je dire, des privilèges ? Oh oh, je m'égare dans le pays de l'imagination… n'est-ce pas ?