Si un policier en congé procède à une arrestation et appelle les flics, l'arrestation sera-t-elle confiée au policier en congé ou à l'agent qui a répondu ?
Réponses
Le processus décrit par Ralph King et Adey Hill est essentiellement le même aux États-Unis. L'officier en repos est celui qui a témoigné suffisamment pour avoir une cause probable de l'arrestation, c'est donc lui qui doit signer la plainte. L'agent de service mettait le prisonnier en garde à vue et le mettait en garde à vue. J'ai également vu l'agent de repos rencontrer l'agent des transports à la gare, puis inscrire lui-même le prisonnier.
Dans les deux cas, l'agent en repos se placerait dans un statut de service en prenant des mesures policières pendant qu'il n'était pas en service. C'est acceptable pour les crimes graves, mais cela n'est pas encouragé pour les choses plus insignifiantes. Si un policier en congé voit un homme gifler sa petite amie au centre commercial, il peut intervenir. Si le même flic voit quelqu'un jeter un emballage de restauration rapide par la fenêtre de sa voiture, il serait peut-être préférable de le laisser glisser.
Certaines agences ont des protocoles très stricts pour les agents qui se mettent en service. Par exemple, je connais un policier qui a eu des ennuis parce que son service exigeait que tout agent se mettant en service ait sur lui certains équipements (arme à feu, au moins une recharge, menottes, radio portable ou téléphone portable, badge et carte d'identité). . Ils devaient également ne consommer ni alcool ni drogue. L'officier a mis fin à une bagarre lors d'un pique-nique familial, et l'un des combattants était suffisamment fringant pour devoir aller en prison. L'agent avait une bière avec lui et n'avait sur lui aucun des équipements requis, à l'exception de son badge et de sa pièce d'identité. Il a été suspendu pour avoir enfreint les règles de conduite en dehors des heures de travail, même si l'arrestation était toujours valable.
Les émissions de télévision, celles sur la police de New York en particulier, semblent être obsédées par la question de savoir à qui revient le mérite du « collier » (arrestation). Cela peut ou non être un gros problème au NYPD, mais dans la plupart des autres endroits, personne ne prend la peine de compter les points. La plupart des agences préfèrent que leurs agents procèdent à un petit nombre d'arrestations de bonne qualité plutôt qu'à un grand nombre d'arrestations insignifiantes.
Si je procédais à l'arrestation, mon nom figurerait sur le dossier de garde à vue. Les policiers de service mettaient le prisonnier en garde à vue. Il me suffirait alors de remplir une déclaration d'arrestation qui décrirait évidemment également l'infraction. Je devrai peut-être créer un dossier de transfert avec un résumé de ce qui s'est passé et de toutes les enquêtes en suspens requises avant que le prisonnier ne soit interrogé et traité. Remplir enfin une fiche d'heures supplémentaires pour me mettre en service (généralement un minimum de 4 heures)